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Aidons l’enfant à faire seul !
Lorsque nous devenons parent, nous pensons souvent à tout ce qu’il faut mettre en place pour apprendre à notre enfant à devenir un adulte aguerri, cultivé, poli (…) bref bien intégré dans notre société en toute autonomie. Dans ses écrits, Maria Montessori explique de ne pas remplir de force la tête de l’enfant mais de cultiver son désir naturel d’apprendre. Tout est en eux, il suffit de leur faire confiance et d’adapter l’environnement. Et si les enfants n’avaient pas tant que cela besoin de nous ?
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Écran à volonté versus autodafé : on a testé !
Lorsqu’on lit les gros titres des journaux ces temps-ci, l’heure est un peu à l’autodafé contre les écrans pour les enfants. « L’écran » un objet dont il faudrait les protéger : du contenu, du temps passé devant et même du support en lui-même. C’est sans penser à une chose : que si on part du principe que l’enfant sait ce qui est bon pour lui, il est aussi capable de gérer seul son usage même très jeune. J’en ai fait l’expérience et c’est plutôt bluffant.
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« Joue avec moi ! »
Nous entendons souvent dire qu’il vaut mieux ne pas se forcer à jouer avec son enfant lorsqu’on n’en a pas envie. Il est intéressant d’interroger ce refus. Souvent le jeu ne semble pas «productif», il est opposé à la notion de travail. Pourquoi l’adulte n’aime-t-il pas jouer ? Pourquoi est-ce si difficile de se laisser aller au jeu avec ses enfants ? Qu’apporte le jeu avec leurs enfants pour les parents ? Nous allons tenter de répondre ici à ce qui se joue quand « il veut jouer ».
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L’allaitement c’est aussi pour les enfants
Alors pour cet article, je m’attends à recevoir une volée de bois vert. Je comprends, quand on ne sait pas, quand on ne le vit pas, quand on ne côtoie pas d’enfants allaités dans son entourage ça fait bizarre dans notre société française depuis quelques dizaines d’années. « carrément extrême » Moi aussi, avant, l’allaitement d’enfant me faisait directement penser à cette scène totalement malsaine de la série Games of Thrones où un enfant de 10 ans, complètement à la masse, téte sa mère folle à lier, dégoûtée par ce caractère incestueux. D’ailleurs je me rappelle, lors du premier mois de Victor, lorsque j’ai appelé pour la première fois une animatrice LLL et qu’elle m’a dit que ses fils avaient tété jusqu’à l’âge de 4-5 ans, là je me suis dit que c’était carrément extrême …
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Une maman libre de ne pas avoir le choix
Parfois, secrètement, j’aimerais être une maman libre de ne PAS avoir le choix. Oui, oui, vous avez bien lu !! Aujourd’hui, vu la masse d’informations qui nous tombe dessus, être maman équivaut à avoir un doctorat dans le domaine de l’alimentation, de la neuroscience affective et sociale, de la santé… On peut passer notre temps à lire, à comparer, à culpabiliser, c’est parfois usant…
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J’ai UN enfant, pas « QU’UN »
Depuis que mister V s’approche dangereusement des 4 ans, les gens commencent à se demander si le « deuxième » : c’est foutu… Si, secrètement, nous essayons sans y arriver ou si nous avons l’idée farfelue d’en faire un « enfant unique ». Ce deuxième enfant qui existe déjà dans la tête des gens, ce deuxième enfant qui est sensé arriver, ce « deuxième » qui annonce peut-être un « troisième », en tous cas, cet « autre » est sensé venir parfaire le tableau comme s’il manquait quelqu’un, comme si nous étions « incomplets ».
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Tu peux être fort comme une fille, mon fils
Bonjour ! Amélie et Fabien m’ont invité à écrire un article sur leur super blog « Famille Épanouie » 😊 Tu peux le découvrir en cliquant Lire l’article
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Le prix de la meilleure « maman Montessori »
Le prix de la meilleure « maman Montessori ». Moi, j’aurais bien aimé le gagner à un moment ce prix mais j’en suis bien revenue car je l’ai un peu payé. Vous n’avez pas l’impression que se livre, consciemment ou non, un combat sans merci entre mamans sur internet en particulier sur Facebook ? Moi, c’est ce que j’ai ressenti et je me suis même un peu laissée prendre au jeu. On a frôlé la catastrophe. Je vous raconte.